C'est parti : Mon nom est Mickaël (qui est semblable à Dieu, en hébeux) je suis né le 18 avril 1992 (le jour de la saint parfait). Tout commence un soir de 1991. Deux personnes, probablement très amoureuses, décident de copuler joyeusement. neuf mois plus tard me voici. Malgré ma supériorité intellectuelle flagrante, je reste très humble. J'écris principalement de la poésie, mais je compte bien m'essayer à tous les genres. (littéraires, j'entends...) Je lis beaucoup aussi. Bon ok, énormément. Parmis mon top du top, figure la très regrettée époque classique : Racine, Corneille, Molière, La Fayette... Mais je lis de tout (même des contemporains, si si !) J'ai pas de passion particulière : je suis une loque apathique.
Ah si, je suis passionné par la langue française, qui est la plus belle de toute. (lisez donc les liaisons dangereuses si vous ne me croyez pas
) J'aime pas les cons, et généralement ils me le rendent bien x).
C'est tout c'que j'avais à dire, alors tes dix lignes...
Bon maintenant le texte de séléction : J'ai la flemme. Voilà c'est dit. Alors j'vais te réchauffer un texte en boîte, un que t'as bien aimé. (t'avais dit : Sympathique, ma foi
)
Le vent va, vascillant, verser sur la verdure
Son onde. Et tu te tiens, là, contre la bordure
D'un escalier de pierre aux reflets aussi gris
Que le ciel sous lequel, si belle, tu souris.
Et les arbres dansant au gré de cette brise
M'inspirent un désir qui mon coeur tyranise.
Ils imitent si bien tes cheveux couleur d'or,
Qu'il semble qu'à part toi, rien ne sied au décor.
Tes yeux sombres, profonds, me tuent comme une lame
qui transperce ma chair, et pénètre mon âme.
Regard tourné vers moi, la main dans les cheveux,
Sourire imperceptible aux contours sulfureux.
Si distante, si loin, ta posture inflexible
Semble appeler mon coeur d'un appel inaudible.
Cet instant si fugace, à jamais préservé
Est l'unique temoin de ta grande beauté
Tu es là, devant moi, pourtant inaccessible
En cendres tu réduis mon coeur bien trop sensible
Ô toi, seul réconfort "sous le gris de mon ciel",
Humble, je viens mendier un bonheur éternel.
PS: je suis joueur.